RP politique :

Voilà petit RP sympa à vous de choisir la suite ...

Il était une fois, dans un pays lointain de l'europe orientale, dans une petite contrée abandonnée, l'histoire d'un petit homme, qui prônait la solidarité de Hongrie toute pourrie.
Cet homme immigra tout d'abord en France, avant de ce rendre compte que ce pays était vraiment nul. Il voulu partir, mais on lui en empêcha. Il regretta alors de ne pas être resté dans son petit pays.
C'est alors qu'il décida de prendre le pouvoir afin d'avoir assez de moyens pour partir de la france et retourner en hongrie. Mais il fallait faire une longue campagne. Mais notre petit homme était prêt à tout, même à mettre des talons pour paraître plus grand, ou plutôt disons moins petit.
Il apprît au fur et à mesure les secrets de la politique. Il s'y intéressa en conséquence de très près. c'est alors qu'il décida de prônait les lois contre les immigrés, afin de leur empêcher d'avoir le dégout d'avoir immigré dans un pays aussi pitoyable.

soudain lui vain à l'idée qu'en se jouant des loies il pourais quiter ce sale pays, si par un malheureux hasard il perdais ses papier et se fesais atraper par ces agent en bleu sur le bord de la route.
Ils le renverais dans son pays sans meme lui dir pourquoi......

Soudainement, il se réveilla et se rendit vite compte qu'il venait de faire un mauvais rêve...Son épouse allongée prés de lui lui demanda se qui s'était passé et il lui raconta tous les détails de ce fameux cauchemard...Si les pauvres gens, qui m'avaient porté au pouvoir savait tout, dit-il , alors ils se rendraient compte que finalement il se font manipuler comme des moutons depuis des siècles et par tous les régimes...Autrefois, j'ai fuis la misère et aujourd'hui dans ce pays, qui se croit encore quelque fois supérieur aux autres et à tort, j'ai trouvé une autre forme de misère : celle de l'esprit....

Joli marcus, vraiment bien, moi je ne suis pas dans ma période rp désoler ^^. Désoler également de pollué un peu ce topic :p.

Pas de probleme pour moi Palandir...

"Femme, femme", s'exclama-t'il, "j'ai eu, comme souvent tu en conviendras, une idée grandiose. Convoques donc toute ma cour et ma basse cour afin que je leur fasse part de mon éclair de génie..."
"Vas y, chéri, dis-moi, dis-moi, je t'en prie", dit son épouse.
"Chut, fais donc ce que je te dis, c'est d'une importance cruciale pour l'avenir de ce pays..." Sur ces mots et soucieuse d'obéir au nouvel homme fort de ce royaume, la première dame s'empressa de convoquer les membres de cette basse cour...Des heures après, tous étaient enfin là, au garde à vous et en tenu d'apparat...Tous attendaient la grande nouvelle qui allait sauver le royaume de l'abime...Le roi entra alors dans la grande salle du palais et tous courbèrent l'échine devant sa grandeur..."Mes chers serviteurs, dit-il, j'ai réfléchi, réfléchi encore et encore et soudain j'ai trouver la solution : rétablissons l'esclavage et tout sera résolu...Qu'en pensez-vous ? En attendant allons fêter ça à la taverne du coin...Eux, ils s'épuiseront à la tâche et nous nous dilapideront le fruit de leurs efforts...Au menu, alcool à volonté et plus si affinités..."

... quelque protestation surgir à grand coût du genre:
"-pour que cela recommence comme jadis une grande révolutions? ah ça non, non merci pour moi. "
les autre asommer cette auportun:
"- Non mais, je rever pour qui ce prent-il celui-là, à tenir tête à sa majester. moi je suis d'accord."
quelque un applaudissent ces quelque mots bien placer.
"- Messire, votre voix pure, douce et pleine d'embition a l'air de faire plaisir a tous vous citoyens. mais avec votre accord, tout autre pays concquis par nos troupe devrons se plier a nos lois... et reduis a l'asclavage."...

Va ainsi, mes fidèles lieutenants et de cette manière nous pourrons vivre dans le plus grand luxe alors que ces manants, oui vous savez ceux et celles qui appartiennent au monde d'en bas, s'épuiseront pour nous servir...jadis la royauté est morte. Mais, Dieu qu'ils sont stupides ces braves gens. Ils ont cru devenir libres mais plus que jamais ils sont asservis et doivent se taire.... taire et survivre grâce à notre bienveillante générosité ou crever comme des chiens, qu'ils sont dans les bas ruisseaux de la capitale...Mais bon réjouissons-nous ! Encore une fois, nous les avons manipulé...